©️ A509 | Il y a une culture qu’il faut inculquer aux haïtiens surtout ceux qui font de la politique, c’est de reconnaître quand quelqu’un est : gagnant ou perdant. C’est une notion de rationalité d’esprit. La pauvreté d’esprit fait que les gens ne reconnaissent rien, il faut avoir un dépassement de soi. La politique est dynamique.
En cas d’élection c’est la majorité qui gagne, il ne faut pas imposer quelqu’un qui est déjà perdant en partant. Dans ce contexte, mieux vaut tolérer que soulever une litige. Cette stratégie dont la classe politique haïtienne s’approprie toujours « moi ou la crise (chaos). » C’est l’affaire des mauvais perdants qui pleurnichent pour rien.
Il faut juste enlever les lentilles, ces pleurnichards ne travaillent que pour leur intérêt personnel qui a pris la place du progrès commun et social.
Les politiciens qui se plaignent trop sans arrêt et sans reconnaître quoi que ce soit, c’est un peu l’égoïsme et le culte du désespoir, c’est aussi des personnalités qui discutent avec mauvaise fois. Parfois, ce sont des gens qui veulent se plaindre pour se plaindre, plutôt que de voir les choses en noir sur blanc, c’est-à-dire de façon raisonnable et intelligente.
En Haïti, l’œuvre politicienne ne manque jamais d’imperfections. Le ridicule ne tue pas, bande de mauvais perdants.
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