©️ A509 | Hier la toile était en ébullition après la publication honteuse des articles par des médias en ligne et des tweets par des journalistes sur leurs comptes X (ex-twitter) pour faire référence à l’ordonnance sur l’assassinat de Jovenel Moïse, du juge instructeur Walther W. Voltaire, qui n’a pas encore émis (délivré) l’ordonnance, dont son mandat a pris fin le 26 janvier passé. Mais, les maîtres de la désinformation sur l’ordonnance préfabriquée ont l’audace de commencer ou de terminer les dépêches ou les tweets en stipulant toujours « selon une source bien informée » et sans avoir la capacité de bien vérifier les informations de ladite « source » avant de les publier, pour cause, l’émotion journalistique est plus importante que la raison.
Ainsi, l’enquête sur l’assassinat de Jovenel Moïse est en train de résoudre avec la clameur manipulatrice journalistique, pour faire de buzz et pour inculper n’importe qui, c’est-à-dire, les ténors de l’information publient n’importe quoi sur n’importe qui pour faire de la sensation et chercher des views, c’est un travail très lucratif parce que plus de views plus d’argents, sans rendre compte de la capacité de nuisance. Toujours, cette classe journalistique mangeur d’hommes et de femmes.
Sans se rendre compte ou peut être voulu, en publiant les fake news les médias en ligne jouent bien leur rôle de protéger les complotistes sur l’assassinat de Jovenel Moïse. Ils se rendent complices par le fait de bousiller l’enquête en propageant n’importe quoi sur la toile. Aucune décence pour voir ce qui est vrai ou faux. C’est un symbole fort la manipulation de l’opinion pour faire oublier les vrais coupables qui ont comploté pour assassiner Jovenel Moïse.
Ces médias ne veulent pas que la lumière sorte parce qu’ils ont choisi leur camp qui rêve de faire subir beaucoup de torts à des gens qui veulent savoir la vérité. Ils ont une grande part de responsabilité dans la montée de la désinformation et des causes qui ont mené à publier le nom de n’importe qui sans jamais voir l’ordonnance. Ils n’ont pas de partialité. Sans éthique et sans déontologie. Seulement la propagation de fake news qui les intéresse.
En d’autres termes, l’ingénierie sociale, en manipulant l’ordonnance préfabriquée sur l’assassinat du président, Jovenel Moïse, à coup de contrôle médiatique.
Oh journaliste, sans code déontologique: la vérité est plus têtue et n’a besoin d’aucun discours.
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